A l’heure de la politique volontariste de renouvellement urbain des autorités de la wilaya. Il est temps que le maire de Mostaganem et sa direction de mettre le paquet pour profiter de l’occasion donnée par le wali.
Un maire à l’écoute de la société civile, une assemblée communale fédérée, peuvent faire place à une ville métropole. Pourquoi Oran et pas Mostaganem !? Nous avons les idées, les hommes et les moyens pour redessiner le visage de la ville des mimosas. Ce qui nous manque c’est la volonté et le courage de regarder les choses en face.
EN L’ABSENCE DE LA SOCIETE CIVILE ET L’AVIS DES SPECIALISTES : Comment moderniser une ville comme Mostaganem?
C’est à partir de là quand peut faire démarrer le train de la ville, Inviter alors à interroger les différentes couches de la société, consulter les avis des techniciens dans le domaine et impliquer les citoyens dans la gestion de leurs ville. Mais, travailler seul, c’est comme suivre son ombre pour s’esquiver des regards des citadins. C’est pourquoi chacun de ses habitants avide d’informations utiles sur ce qui se passe dans son entourage, il est envident qu’il accuse le maire ou les élus de mauvaise gestion. Sinon, comment peut-il interpréter, le déblocage des centaines de millions voire des milliards pour l’aménagement des espaces verts au moment où des dizaines de quartiers souffrent de l’isolement, de manque de gaz de ville, de l’éclairage publique, des arrêts de bus voire même les toilettes publiques.
Les modalités de renouvellement des bitumages des rues ainsi que l’urbanisation des quartiers et du centre-ville et la mission de tous tout en préservant le fameux droit du code de la route « priorité à droite.. ! »
Comment moderniser une ville comme Mostaganem?
Une question qui mérite un sondage d’opinion publique à un niveau national, peut-être qu’après réflexion il y aura des effets sur la conscience humaine l’obligeant à l’avenir de faire un choix dans le bon sens dans l’intérêt de tous et combattre ce clanisme autodestructeur qui ne sert ni la ville ni les citoyens et retardera ainsi le développement de Mostaganem encore des décennies prochaines.
I l n’est jamais trop tard pour bien faire, surtout avec une volonté et une conviction d’amour d’une ville et d’un pays, d’une région, d’une demeure, d’une cité, bref de tout ce que possède l’être humain. A travers des années de gestion municipale, on a l’impression de tourner en rond, et rien n’avance ce qui parait invraisemblable pour quelques élus qui se sont succéder à la tête des APC et qui ont œuvré dans l’intérêt de tout le monde, mais sont déçus d’avoir fourni tant d’efforts pour rien, ils se sentent mis en cause parce qu’il n’y a pas eu de continuité et un suivi de la part de leurs successeurs, qui n’avaient pas planifier des projets à long terme négligeant totalement le côté démographique et même prévisionnel en matière de logements de créations d’entreprises, de construction de routes, de plus d’espaces verts etc… Car tout ce beau monde semble négliger l’avenir du pays qui est incertain en raison de sa mauvaise prise en charge et des guerres intestines qui divisent les partis politiques se répercutant sur toute une population qui s’égard et qui est prise en otage vivant un calvaire continu décidé par des gens choisis par des électeurs en qui ils avaient confiance en les propulsant au sommet des plus hautes sphères des communes et des wilayas. Le constat est là avec une réalité palpable car chaque citoyen appréciera à sa juste valeur le bilan de toute une gestion et de projet en cours de réalisation etc…. Après cette mise au point d’une réalité concrète, chacun doit évaluer et estimer qu’ à l’avenir il est du devoir de chacun de faire un choix de candidat titulaire de capacités et d’expériences lui permettant de gérer avec doigté en faisant face à toutes les contraintes et surmonter tous les obstacles nuisibles relatifs à une gestion trouble parfois décidée par des gens incompétents ou ne cherchant que leur propre profit au point où sans aucune scrupule délaissent l’objectif et le but pour lequel il a été choisi. Ce genre de constat est devenu monnaie courante, vu que chaque citoyen le sent et le vit, surtout quand il est confronté à des biens et services dépendants de cette frange d’élus qui doivent honorer un contrat moral, survenu après des élections libres et démocratiques.
Par Riad