Le Conseil économique et social (CNES) ne trouve pas le contexte économique actuel de l’Algérie « alarmant » mais le qualifie de « préoccupant ».
Selon le vice président du CNES, Mustapha Mekideche, qui s’exprimait, mardi sur les ondes de la radio nationale, l’Algérie subit depuis juin 2014 « un choc externe extrêmement violent, en termes de volume de perte et de recette extérieure » avant de rassurer que « le gouvernement a déjà mis en place des instruments qui pourront absorber cette crise ».
Abordant la réduction des dépenses budgétaires, le responsable du CNES, a soutenu qu’ »il va falloir aller beaucoup plus loin du chiffre de 9% avancé par le premier ministre Abdelmalek Sellal ».
Mekideche a expliqué qu’il « va falloir reporter certains projets dans certains secteurs et revoir également leur budget de fonctionnement. Ce qui n’est pas encore à l’ordre du jour « .