Clôture de la 6e édition du festival international du film d’animation

Clôture de la 6e édition du festival international du film d’animation

L’Afrique à l’honneur

La 6e édition du Festival international du film d’animation a été clôturée, mardi dernier au soir à la salle Ibn Zeydoun de l’office de Riad El Feth (OREF), devant un public timide. Cette manifestation qui a duré du 13 au 15 décembre courant est initiée par l’association culturelle «Patrimoine» avec le soutien du ministère de la Culture.

Mahmoud Meziani, commissaire de ce festival et secrétaire général de l’association culturelle «Patrimoine», déclare en substance «Cette sixième édition est placée sous le slogan «l’Afrique s’anime», une édition dédiée donc à l’animation africaine.

Cette démarche s’inscrit dans l’esprit de continuité du deuxième festival Panafricain.

Notre objectif est de donner l’opportunité aux jeunes talents de s’exprimer». Il fera rappeler que la première soirée d’ouverture de ce festival a honoré le doyen des réalisateurs africains Moustapha Alassane pour son remarquable parcours dans la promotion du film d’animation en Afrique.

Outre les projections des films (plus de 300 films entre longs et courts métrages), la 6e édition du Festival international du film d’animation a vu d’autres importants évènements.

Il s’agit des ateliers de réalisation de film d’animation et d’initiation à cet art «qui ne cesse de prendre de l’élan», précise ce même interlocuteur. Pour couronner ce travail, une vingtaine d’étudiants de l’ISMAS (Institut Supérieur des Métiers des arts du Spectacle et de L’Audio-visuel) ainsi que des autodidactes avec deux jeunes réalisateurs burkinabés, ont collaboré à la réalisation d’un film d’animation «Le regard des Algérois vers l’Afrique noir».

Notons que ce film sera en montage au Burkina Faso et l’avant première est prévue à la fin du mois de janvier à Alger.

Le programme de la manifestation qui a comporté des films nigériens, congolais, burkinabés, kenyans, sénégalais, malgaches, tunisiens et marocains «Nous a offert l’opportunité de voir des films que n’aurions pas pu voir par ailleurs», relèvent des cinéphiles qui appuient sur le fait qu’elle «nous a permis de découvrir la production filmographique africaine».

La séance de clôture, marquée par une projection du film français «Le château des singes» a drainé un public nombreux composé à majorité de jeunes.

Par ailleurs, M. Meziani informe que son association a déjà réalisé trois films d’animation à savoir «Le chantier de la Casbah», «Le fantôme inconnu» et «Le charmeur de serpent». Il émet son souhait, en dernier de voir établir et intégrer le cursus «animation» à l’école des beaux arts d’Alger.

En continuité à ce festival, l’association culturelle «patrimoine» anime aujourd’hui un atelier au siège de l’ISMAS à Bordj El Kiffan.La 6e édition du Festival international du film d’animation a été clôturée, mardi dernier au soir à la salle Ibn Zeydoun de l’office de Riad El Feth (OREF), devant un public timide. Cette manifestation qui a duré du 13 au 15 décembre courant est initiée par l’association culturelle «Patrimoine» avec le soutien du ministère de la Culture.

Mahmoud Meziani, commissaire de ce festival et secrétaire général de l’association culturelle «Patrimoine», déclare en substance «Cette sixième édition est placée sous le slogan «l’Afrique s’anime», une édition dédiée donc à l’animation africaine.

Cette démarche s’inscrit dans l’esprit de continuité du deuxième festival Panafricain.

Notre objectif est de donner l’opportunité aux jeunes talents de s’exprimer». Il fera rappeler que la première soirée d’ouverture de ce festival a honoré le doyen des réalisateurs africains Moustapha Alassane pour son remarquable parcours dans la promotion du film d’animation en Afrique.

Outre les projections des films (plus de 300 films entre longs et courts métrages), la 6e édition du Festival international du film d’animation a vu d’autres importants évènements. Il s’agit des ateliers de réalisation de film d’animation et d’initiation à cet art «qui ne cesse de prendre de l’élan», précise ce même interlocuteur. Pour couronner ce travail, une vingtaine d’étudiants de l’ISMAS (Institut Supérieur des Métiers des arts du Spectacle et de L’Audio-visuel) ainsi que des autodidactes avec deux jeunes réalisateurs burkinabés, ont collaboré à la réalisation d’un film d’animation «Le regard des Algérois vers l’Afrique noir».

Notons que ce film sera en montage au Burkina Faso et l’avant première est prévue à la fin du mois de janvier à Alger.

Le programme de la manifestation qui a comporté des films nigériens, congolais, burkinabés, kenyans, sénégalais, malgaches, tunisiens et marocains «Nous a offert l’opportunité de voir des films que n’aurions pas pu voir par ailleurs», relèvent des cinéphiles qui appuient sur le fait qu’elle «nous a permis de découvrir la production filmographique africaine».

La séance de clôture, marquée par une projection du film français «Le château des singes» a drainé un public nombreux composé à majorité de jeunes.

Par ailleurs, M. Meziani informe que son association a déjà réalisé trois films d’animation à savoir «Le chantier de la Casbah», «Le fantôme inconnu» et «Le charmeur de serpent». Il émet son souhait, en dernier de voir établir et intégrer le cursus «animation» à l’école des beaux arts d’Alger.

En continuité à ce festival, l’association culturelle «patrimoine» anime aujourd’hui un atelier au siège de l’ISMAS à Bordj El Kiffan.

Samira Sidhoum.