Dans une lettre adressée à monsieur le Secrétaire Général de la Wilaya de Mostaganem, à monsieur le Chef-Daïra, au maire et au directeur de la Sonelgaz, les signataires qui évoquent la problématique de l’éclairage public faisant défaut dans leur cité Perle de la Méditerranée, demandent de la part des responsables cités, une prompte intervention afin de parer au noir qui porte main mise sur les lieux une fois le soleil couché. Un désagrément qui ne dure pas depuis quelques jours, mais depuis l’inauguration de la cité de par l’ex-wali en mois d’Avril. En d’autres termes, les résidents pataugent dans le sombre de la noirceur depuis cinq longs mois, alors que la Sonelgaz et la commune avaient donné leur parole devant les responsables, le jour de la remise des clefs, à régler le problème de l’éclairage public. Mais en vain, au temps où les paroles s’envolent, laissant cette cité comptant 508 logements sans éclairage ! Ce qui donne à la cité l’allure d’un couvre-feu imposé, pour paraphraser les signataires, sans compter le risque sécuritaire des habitants et de leurs biens que causent les institutions incriminées. Car il y a lieu de mentionner que REAPROM a tout préparé : poteaux de style, le câblage et même les nids. Mais comme il y a toujours un mais, la société de distribution d’électricité qui coupe le courant aux « mauvais payeurs », avant même que les factures parviennent aux abonnés tel qu’il a été vécu dans plusieurs cités, semble oublier sa mauvaise prestation !
Les habitants de la Perle de la Méditerranée qui ont payé leurs logements rubis sur ongle pour profiter du luxe de cette belle cité, semblent être enviés par la commune et la Sonelgaz qui n’assurent pas leurs obligations alors qu’ils sont payés !
Ilies Benabdeslam