Cité 385-logements d’Aïn-Naâdja: Un trottoir amoché par Sonelgaz

Les opérateurs, notamment ceux qui sont en charge de la maintenance d’accessoires encastrés dans le sol, n’accordent pas l’importance voulue que requière une demande d’autorisation dite de la petite voirie, lorsqu’il s’agît d’intervenir sur la voie publique qui relève pourtant du domaine public.

Non, du fait que la plupart des opérateurs font fi de l’obligation de satisfaire à la remise des lieux, tels qu’ils étaient auparavant, soit avant le premier coup de pioche. Le dernier exemple en date, nous vient de la cité des 385-Logements à Aïn Naâdja, où une équipe de l’opérateur Sonelgaz (SDA) est venue “creuser, fouiller, bêcher” du côté des immeubles 12 et 11, sans pour autant remettre les trottoirs et la chaussée en l’état.

À ce propos, et à l’allure où s’accumulent les travaux de fouilles, force est d’admettre qu’il ne restera plus rien de l’asphalte qui s’en va ainsi en plaques entières. Donc, le mieux est que les opérateurs se soucient davantage de l’aspect esthétique de la voie. Ne sont-ils pas comptables du confort de leur clientèle?