par Bencherki Otsmane
Il faut dire que les besoins sont immenses et les pouvoirs publics ne peuvent satisfaire tout le monde, crise économique oblige. Les problèmes d’alimentation en eau potable, d’assainissement et le phénomène de pollution qu’il engendre partout, de la santé, de l’éducation avec ses problèmes d’entretien des infrastructures, de surcharge de classes, de ramassage scolaire, de l’habitat, de la jeunesse en proie au chômage, à l’oisiveté et à la délinquance, de la sécurité, se posent à quelques différences près avec la même acuité, partout, en des termes, il vrai, différents par rapport aux décennies 1980 et 1990. A souligner enfin que lors de sa prise de fonction, le 30 septembre dernier, à la tête de l’exécutif de la wilaya de Chlef, M. Saddek Mostefa a affiché sa volonté et son « entière disposition quant à la prise en charge des préoccupations qui lui seront avancées par la population locale et ce dans les limites des possibilités financières existantes ».