Trop de produits alimentaires se vendent sans la moindre insouciance par des commerçants si incrédules.
Lait, biscuits, boîtes de conserve, jus, chocolats, fromages, viandes d’origine fort douteuses, et pains demeurent les principales denrées vendues dans des locaux où l’hygiène est quasi absente ou carrément à la criée et à même le sol. Alors que les textes qui régissent l’activité commerciale sont si clairs et interdisent de telles pratiques et les instances concernées sur la certification et l’étiquetage révèlent que tout produit doit être retiré de la vente trois mois avant la date d’expiration. Malheureusement, la réalité est tout autre, tout se vend sans se référer à ces mesures, et la loi de la jungle semble dominer. Notons encore que certains commerçants ne se gênent point de vendre sur le marché des produits alimentaires impropres à la consommation. Ils sont si nombreux les consommateurs qui s’étonnent de voir sur les emballages les dates dépassées des aliments destinés à la consommation. Ce phénomène a tendance encore à prendre de l’ampleur où les restaurants des résidences universitaires semblent se mettre de la partie, en négligeant carrément la moindre règle d’hygiène, en goinfrant les étudiants avec du ‘’n’importe quoi’’. Malheureusement, ces produits périmés, malsains et si mal conservés sont interdits de vente car ils ne peuvent que nuire à la santé et mènent souvent à la mort. Ces derniers deviennent toxiques et ne peuvent plus être consommés, ils deviennent des poisons. Ignorant l’origine de ces produits frauduleux, le consommateur se laisse souvent prendre et risque fort de finir à l’hôpital, en souffrant juste avoir pris un bout du produit douteux .Alors, où sont toutes ces personnes censées défendre le consommateur et le protéger contre toutes ces nuisances, et où sont ces directions de commerce, censées également à l’application stricte des règles commerciales. Le citoyen finit souvent par être dupé par ces commerçants, juste aguichés par le profit, quitte à fourguer n’importe quoi sur le marché. N’est-il pas temps de prendre de plus sévères mesures contre ces marchands de la mort !