Ce sont pourtant des diplômes validés par le système d’études universitaires algérien, que ce soit le LMD ou le classique. Néanmoins, certains chefs d’entreprise ont procédé à une esquisse de mise en cohérence pour reclasser, sous une forme d’harmonisation, ces hauts diplômés, mais n’obtiennent pas l’aval de leur hiérarchie.
N’y a-t-il pas une injustice à réparer ? Peut-être qu’il est temps de dégager des solutions à la hauteur du nombre d’années universitaires effectuées et permettre aux titulaires des diplômes en question d’être classés et rémunérés à leur juste mesure.