On les a vus lécher les bottes des journalistes français pour soigner leur image de bougnoules marginalisés !
Il n’y a pas pire qu’un affamé lorsqu’il se rassasie. Ce dicton bien de chez nous semble s’adapter parfaitement à certains joueurs de l’EN qui, une fois après avoir posé leur derrière chez les Verts, semblent avoir oublié d’où ils sont venus.
Leur comportement d’enfants gâtés sur le tard, difficilement supporté, a fini par exaspérer leurs accompagnateurs parmi les dirigeants de la FAF et les journalistes. La relation avec nos confrères, notamment, a pris une tournure qu’on jugerait pour le moins choquante. Jugez-en.
Un complexe de supériorité devant leurs cousins propre aux émigrés
Certains de ces gâtés pourris ont fini par prendre les journalistes algériens de haut, les traitant de moustiques et de mouches ! Ceci, parce qu’ils se ruent vers eux à chaque fois, pour recueillir leurs déclarations. Quoi de plus normal dans notre noble métier ? Y a-t-il un mal à cela ? On n’en voit pas.
Sinon, dans ce cas, un médecin qui ausculterait les pieds d’un patient ferait également un métier dégradant. Tout comme un scientifique qui descend sur le terrain procéder à des prélèvements d’eaux usées, serait aussi traité d’on ne sait quoi ! Mais aux yeux de ces stars en cartons, qui ne savent même pas lire un contrat, le fait de les entourer de la sorte leur procure une jouissance infinie, sans doute animée par un complexe de supériorité propre à certains émigrés.
On les a vus lécher les bottes des journalistes français pour soigner leur image de bougnoules marginalisés !
Sinon, comment expliquer le fait que ces mêmes joueurs se plient en quatre, dès lors qu’il s’agit de répondre à un journaliste européen ? On les a suivis et on les a vus lécher les bottes des journalistes français, notamment, dans l’espoir de soigner leur image de bougnoules marginalisés.
Un complexe développé de la frustration de ne pas avoir pu réussir avec les Bleus et qui continue à les hanter même avec la belle tenue verte de notre chère Algérie. Ils étaient exécrables à voir à Bangui, l’air hautain, refermant la porte de l’hôtel à la face des journalistes algériens. «Ils sont encore là, ces moustiques !» Voilà ce que pensent ces représentants de l’Algérie de leurs compatriotes.
Fiers de notre accent, fiers de notre bled !
Entre eux, ils n’arrêtent pas de se moquer de l’accent des journalistes du bled qui leur servent sans doute de thérapie de groupe, pour exorciser les complexes profonds qui les ont poursuivis depuis qu’ils ont mis les pieds à l’école française. Ceci, bien sûr, parce qu’il leur fait rappeler l’insupportable accent blédard de leurs parents.
Qu’a-t-il de si vil ce bel accent algérien que nous ont transmis nos vaillants martyrs, morts pour ne pas laisser les générations futures se dissoudre dans la société française ? Qu’a-t-il cet accent qui nous caractérise et qui nous donne à chaque mot et à chaque son sortis de nos bouches, encore plus de fierté de dire notre liberté retrouvée, d’afficher notre algérianité restée intacte, même après 132 ans de colonisation stérilisante ? Non, ces joueurs sont trop stupides pour comprendre ces mots. Ils sont trop nuls pour se faire respecter et surtout rendre la monnaie de la pièce à ces journalistes qui les ont érigés au rang de héros nationaux.
Savez-vous ce que cherchent les mouches ?
Mais c’est sans doute aussi notre faute s’ils sont devenus aussi pourris, aussi hautains. On leur a donné plus d’importance qu’ils n’en méritaient, parce qu’on pensait que les Algériens avaient aussi le droit de rêver, comme leurs semblables d’ailleurs. On a donc pris sur nous, en cachant tous les défauts de ces abrutis, tous les vices qui pouvaient choquer le peuple et démythifier ces «héros» qu’on savait pourtant plus proches des guignols en réalité. On a caché leurs écarts de conduite surtout par respect à leurs coéquipiers qui, dans leur majorité, ressemblent vraiment à l’image qu’on se fait d’eux. Mais aujourd’hui, ces minables ont dépassé toutes les limites. A tel point que le cœur des journalistes ne peut plus rien supporter de leur part. Comment peut-on se taire devant de telles insultes ? Que répondre à ce genre de bassesses ? Ils disent que les journalistes sont des mouches… Selon nos connaissances, les mouches tournent plus autour de la… merde, non ?