« Je ne crois que cela constitue un problème pour nous. On connaît bien ce terrain sur lequel nous avons déjà évolué l’année dernière, lors de la Coupe des Confédérations. »
Votre avis sur le fait de ne vous être pas entraînés sur le terrain principal avant d’affronter l’Algérie…
Je ne crois que cela constitue un problème pour nous. On connaît bien ce terrain sur lequel nous avons déjà évolué l’année dernière, lors de la Coupe des Confédérations. Sachez que nous sommes déterminés à réaliser un carton face à l’Algérie demain (entretien réalisé hier).
Un mot sur la sélection algérienne ?
L’Algérie est une équipe redoutable qui compte des éléments de bon niveau qui évoluent notamment dans le championnat français. Je les connais bien car, moi aussi, je joue en France. Seulement, ce mercredi, on va avoir en face de nous 11 joueurs, pas uniquement un ou deux éléments.
Votre défense a encaissé des buts lors des deux récentes rencontres, cela ne vous inquiète-t-il pas ?
Non pas vraiment. Il est vrai que nous avons encaissé des buts mais nous avons aussi réussi à planter trois banderilles. Cette fois, on va tout faire pour éviter d’encaisser dans ce match contre l’Algérie. On va renouveler la prestation livrée contre la Slovénie en seconde période.
Ressentez-vous une pression avant ce match ?
Notre but, c’est de rendre les supporters heureux. On veut réaliser notre objectif, à savoir passer au second tour de cette Coupe du monde. C’est ce que tout le peuple américain attend de nous. Vous comprendrez que nous sommes très motivés pour les satisfaire.
Quelles sont vos chances face à l’Algérie ?
On a de grandes chances de gagner ce match contre l’Algérie. On est conscients de l’importance de glaner les trois points de ce match pour assurer notre objectif.
Vous voulez effacer la déception de 2006, c’est bien cela ?
Les choses sont différentes. En Allemagne, notre situation était très difficile. Je tiens à dire que, malgré la difficulté de la tâche qui nous attend contre l’Algérie, on jouera demain (aujourd’hui, ndlr) pour gagner. On ne veut justement pas revivre le scénario de l’Allemagne 2006.
Ce succès vous rendra plus célèbre en Amérique, votre pays…
Il y a déjà un nombre très important de personnes qui aiment ce jeu qu’est le football. La sélection est adulée par l’ensemble des fans américains. J’espère que, demain, après notre qualification en 8es de finale, on pourra gagner l’estime et l’encouragement des autres Américains.