Une lecture attentive des chiffres relatifs aux élections législatives le 4 mai 2017, montre qu’ils accusent une lacune de taille. Il s’agit en effet de l’âge moyen des candidats. Allons-nous vers un rajeunissement des futurs représentants du peuple à la chambre basse et au Sénat? Ou la question importe peu? Ce manque de précisions est pour le moins déplorable dans une consultation populaire d’une telle importance. On peut toutefois relever avec satisfaction une majorité de candidats universitaires (55,91%) suivie d’un pourcentage tout aussi satisfaisant de postulants ayant un niveau secondaire (30,33%) ou encore du nombre non négligeable de candidats post-gradués (master et doctorat) qui est de 6,32%.

A lire aussi