Quelque 40 000 diplômés en BTPH arrivent sur le marché de l’emploi chaque année mais, les projets en chantiers souffrent pourtant d’un grand manque flagrant de main d’œuvre.
La formation à la carte (sous convention avec le ministère demandeur) à la demande du besoin national ne suffit, visiblement, plus et des chantiers sont à l’arrêt.
Les jeunes refusent-ils de travailler ? Les recruteurs ne payent pas bien ? En tout cas il y a problèmes qui faussent l’optimisme des uns et l’engouement des autres dans le secteur du bâtiment, tous métiers confondus.
