A seize jours du début de la compétition (12 juin 2014), des policiers du bataillon de choc ont chargé plus d’un millier de manifestants dont des enfants et des vieillards pour les empêcher de s’approcher du stade Mané Garrincha qui accueillera plusieurs matches.
Certains manifestants ont répondu en lançant des pierres contre les 700 policiers qui protégeaient l’arène où se trouve le trophée du Mondial, exposé au public. Peu avant, quelque 500 chefs indiens dont le célèbre cacique Raoni, défenseur de l’Amazonie, étaient montés sur le toit du parlement pour réclamer des politiques pour leurs peuples.
Source : L’Equipe