Quand Amar Saïdani a défié ses opposants qui alimentent la polémique de la maladie du président Bouteflika en leur assurant que Bouteflika est en bonne santé et sera le candidat du FLN et animera lui-même sa campagne électorale, beaucoup, l’ont dénigré .
Et quand le ministre de l’information, M. Messahel, a affirmé que l’élection présidentielle sera au rendez-vous au prochain printemps 2014, les partisans du printemps arabe ont eu froid au dos. Mais en voyant le président de la République au journal de 20h, debout sur ses deux pieds, ses nombreux détracteurs politiques ont réalisé le degré de leur stupidité ..! La preuve par image ne peut être contredite que par un débile…!?
C’est le coup de grâce qu’infligea le président de la république Abdelaziz Bouteflika à ses détracteurs et ennemis de l’Algérie qui ne pouvaient avaler que Bouteflika sauve son pays et son peuple du gouffre terroriste et cela en recevant M. Lakhdar Brahimi, ancien ministre algérien des Affaires Etrangères et émissaire spécial des Nations Unies et de la Ligue Arabe qui devait lui rendre compte sur la situation qui prévaut dans le Monde Arabe et plus précisément sur la crise syrienne ainsi que sur les derniers développements survenus au Moyen Orient et notamment sur les négociations du groupe 5+1 (Etats Unis, Russie, Chine, France, Grande Bretagne et Allemagne) et l’Iran. Mais le plus frappant c’est de voir lors du journal télévisé de 20 heures sur les écrans de la télévision algérienne, le président de la République se levait plein de vivacité pour embrasser son ministre et prendre son café en compagnie de son invité d’une façon alerte et pleine d’énergie. Par ailleurs, la deuxième preuve irréfutable démontrant la nette amélioration de son état de santé, c’est de recevoir avec le sourire ses petits neveux (les enfants de son frère Said Bouteflika). Que faut il de plus pour ses pharisiens pour revenir à la raison pour arrêter l’injure car l’injure est l’argument de ceux qui n’ont pas d’argument. Le président doit combattre pour que vive l’Algérie et se développe pour tous ses enfants qui ont besoin d’elle. Quant à ces détracteurs sur lesquels le démon plane, ils ne pourront rien contre la force d’un peuple et d’un président qui s’est fixé un but c’est de mourir debout que de vivre à genoux car quand on est juste, on ne craint pas le vain pouvoir des hommes car bien que soit disant ils paraissent forts, mais ce sont des hommes comme nous et un seul DIEU nous jugera demain.
Adel