Le terrain situé entre le stade olympique Rabah-Bitat et la résidence universitaire de jeunes filles connaît des aménagements pour la réalisation d’un parc d’attractions. Cet édifice sera d’une grande utilité à la ville qui connaît un manque flagrant en matière de lieux de divertissement pour les enfants mais aussi pour les adolescents. Les choses auraient évolué normalement si l’investisseur n’avait pas introduit dans son projet une salle des fêtes.
Les riverains du projet qui affirment que cette extension ne serait pas prévue dans le cahier des charges craignent et redoutent les conséquences qui découleront en matière de bruit et autre pollution sonore que causent pareille structure. Comme chacun sait, ces structures sont réglementées et font partie des activités classées qui ne peuvent s’exercer dans des lieux à forte densité habitante.
Elles doivent aussi disposer de parking afin de ne pas perturber la circulation. La proximité d’un parc de jeux qui sera à n’en pas douter fortement côtoyé reste un vrai danger le jour des fêtes où bon nombre oublient le Code de la route et se comporte comme des chauffards. La crainte des riverains est justifiée mais l’APC de son coté et dans son souci de rentabiliser ses recettes en ces temps de disette, tente de trouver des ressources à travers l’impôt. Pour ne léser aucune partie, il est du devoir des responsables de voir la solution qui s’impose dans pareille situation. Les plaignants partagent cette proposition.