Dimanche dernier, la cour de Bouira a débuté sa première session criminelle ordinaire. Celle-ci se poursuivra jusqu’au 19 mars prochain.
La cour jugera 48 affaires dont 6 d’entre elles relèvent du terrorisme.
Quant aux autres affaires, elles relèvent de plusieurs délits, à savoir l’association de malfaiteurs, le vol, le port d’armes prohibées, l’homicide volontaire avec préméditation, la tentative d’homicide, séquestration et viol, kidnapping avec violence, usurpation d’identité, faux et usage de faux, dilapidation des deniers publics, émission de chèques sans provision, atteinte à la pudeur sur une personne mineure et émission de faux billets de banque.
Les affaires liées au terrorisme sont au nombre de 6 et seront également traitées au cours de cette session.
Les affaires de terrorisme programmées touchent des accusés poursuivis pour les délits de constitution de groupes terroristes armés, détention de munitions et d’armes de guerre, dans le but de semer la terreur et d’instaurer un climat d’insécurité parmi les populations par la menace, l’homicide volontaire et le racket.
