Le défenseur des Fennecs, lancés dans la CAN par leur succès sur le Mali (1-0), pense que le pire est passé pour l’Algérie.
Comment vous sentiez-vous au sein de la défense face au Mali ?
Vous aviez visiblement à coeur de vous racheter ?
Oui, c’est évident. Nous sortions d’une défaite humiliante contre le Malawi qui, je pense, n’était qu’un simple accident de parcours. Nous avons su réagir face à une grosse équipe malienne. L’heure plus tardive nous a moins pénalisé que la première rencontre. Concernant ma prestation, je suis convaincu de pouvoir apporter bien plus. Et notamment offensivement.
Que vous manque-t-il pour être favori ?
Il faut que nous soyons capables de tuer le match bien plus rapidement et avec plus de facilité. Si nous avions mis ce deuxième but de la libération, nous aurions pu développer un jeu séduisant et plus serein. Notamment en défense…
Ces derniers jours, les médias algériens ont mis l’accent sur l’ambiance délétère au sein de la sélection
C’est vraiment navrant. D’autant plus que nous avons procurer une immense joie au peuple algérien dans le contexte que tout le monde connaît. J’ai entendu parler de clans. C’est absolument faux ! Tout comme l’histoire des distensions autour des contrats publicitaires. C’est de la pure bêtise. Nous sommes soudés et conscients de la tâche qui nous attend. A savoir représenter dignement l’Algérie. Cela passe par une qualification.
Farouk Doukhi en Angola