« Nous ne devons pas un euro, ni un franc aux organismes de sécurité sociale français », a affirmé le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, en marge des débats sur le plan d’action du gouvernement, au Conseil de la nation.
Le ministre répondait à une question sur des dettes de transfert et de séjour de malades algériens dans les hôpitaux rançais. Il a précisé qu’il en avait fait le point, récemment à Genève en Suisse, lors de sa rencontre avec son homologue française. Boudiaf a demandé aux médias de « se rapprocher des services de la Cnas pour s’assurer de ces informations », ajoutant que les comptes montrent plutôt que « ce sont eux qui ont été tenus de nous rembourser » le différentiel.
K. D.