Alors que Mourad Boudebouz sortait du salon réservé aux invités de marque pour aller s’installer à la place qui lui avait été désignée, il avait croisé le freestyler Wassim Benslimane qui était en train de s’échauffer derrière la scène en prévision des shows qu’il allait présenter au public. Séduit par ce que faisait le jongleur, il s’est saisi du ballon en tentant quelques figures. Ses yeux riaient de figure, comme un gamin qui découvrait un nouveau jouet.
Papa Boudebouz comme papa Ziani
Si Karim Ziani est ami avec Ryad Boudebouz depuis que les deux joueurs évoluaient ensemble au FC Sochaux (Boudebouz, même jeune, s’entraînait parfois avec l’équipe première), cela peut se comprendre d’une certaine façon : papa Boudebouz ressemble fortement à papa Ziani. Tous deux sont relativement jeunes, se laissent pousser la barbe en forme de bouc, sont très proches de leur enfant et l’ont préparé jeune à choisir l’Algérie, leur pays d’origine. Paradoxalement, ils ne se sont encore jamais rencontrés.
Mandarini n’est pas reparti les mains vides
Notre confrère du quotidien italien Il Matino, Fabio Mandarini, se souviendra certainement de la cérémonie du Ballon d’Or. En plus d’avoir eu le plaisir d’assister à cet événement marquant, il est reparti également avec un cadeau offert par Nike, l’un des sponsors de la cérémonie, aux vainqueurs du tirage d’une tombola. Non pas qu’il ait été tiré au sort, mais notre confrère Ahmed Lakrout, dont la carte a été tirée au sort, a préféré lui rétrocéder le cadeau pour l’honorer en tant qu’invité de l’Algérie. Il n’y a pas que ça : il a même réussi à décrocher une courte interview de Emilio Butragueno.
