Il était le premier joueur du côté des Verts à s’engager pour un nouveau club, au début du mois de juillet au profit de la formation chypriote d’Omonia Nicosie. Sauf que depuis, les choses ont évolué et Hameur Bouazza a été contraint de résilier son contrat, suite à une erreur qu’il a commise (il a quitté Chypre pour rallier Paris sans en informer sa direction) et que les responsables de Nicosie n’ont guère apprécié. Toujours est-il, ça fait maintenant trois semaines que l’international algérien a rompu son contrat et demeure sans club. Une situation assez compliquée, d’autant qu’aucun club ne s’est manifesté jusque-là pour le récupérer. La fin du mercato approche à une vitesse grand V, et l’ancien pensionnaire de Fulham demeure toujours en stand- by. Son agent essaye tant bien que mal de lui trouver un bon club preneur, mais avec la crise financière qui sévit sur le monde du football européen en ce moment, les choses ne s’annoncent pas faciles.
Son souhait est de retourner en Angleterre
Hameur Bouazza a un style de jeu, qui convient parfaitement au jeu anglais. Le joueur, bien qu’il ait grandi en région parisienne, a toujours eu un faible pour l’Angleterre et son jeu engagé. Désormais sans club, le joueur aimerait bien refaire son retour en Championship, lui qui a évolué la saison passée en faveur de Millwall. Il lui reste désormais 12 jours pour trouver un nouveau club, avant la clôture officielle du marché des transferts outre-manche.
Dans le cas contraire, une expérience en Algérie ne sera pas de refus, puisque des formations comme l’ES Sétif ou le MC Oran, serait intéressée par le profil de l’ailier international.
«Je ne m’inquiète pas pour mon avenir»
Dans une déclaration faite à la presse britannique, Hameur Bouazza a assuré qu’il ne se faisait pas de souci concernant son avenir et qu’il finira bien par rebondir dans un nouveau club, que ce soit en Angleterre ou dans un autre pays européen.
«Certes, je suis sans club, mais je ne m’inquiète pas pour autant. Il me reste encore du temps pour trouver un nouveau club. J’aimerais bien retourner en Angleterre, mais une expérience dans un autre pays européen ne sera pas de refus.»
