Bordj Badji Mokhtar : un pharmacien brutalement agressé à Timiaouine

Bordj Badji Mokhtar : un pharmacien brutalement agressé à Timiaouine

Un pharmacien de la zone frontalière de Timiaouine, rattachée administrativement à la wilaya de Bordj Badji Mokhtar, a subi le lundi 16 janvier dernier, vers onze heures et demie du soir une agression « brutale » alors qu’il était en plein service. Un groupe de plusieurs personnes armées d’armes à feu ont pris d’assaut sa pharmacie et l’ont agressé physiquement « avant de le menotter et de saisir tout l’argent de la pharmacie et une partie des objets et équipements liés à la gestion et au contrôle de sécurité », selon le communiqué du Syndicat National Des Pharmaciens d’Officine, publié aujourd’hui, le lundi 30 janvier 2023.

Suite à ce terrible incident, le Syndicat National Des Pharmaciens d’Officine a dénoncé cette « attaque criminelle et lâche qui a visé un confrère pharmacien non armé, et lui a déclaré sa solidarité pour surmonter cette épreuve qui a failli lui coûter la vie, en envoyant un représentant du syndicat pour vérifier son état de santé. »

Le SNAPO conclut son communiqué, en informant qu’en attendant les conclusions de l’enquête judiciaire en cours, le syndicat appelle les autorités compétentes à faire en sorte de mettre tout en place pour protéger les pharmacies et les travailleurs de ce secteur quant aux agressions qui peuvent les toucher.

Ain Defla : une fausse médecin tue un enfant de 6 ans

Un « faux médecin » a causé la mort d’un jeune garçon âgé de tout juste six (06) ans, malade en prétendant pouvoir le soigner.

Selon les informations rapportées par le média arabophone Ennahar, une femme âgée d’une quarantaine d’années se faisait passée pour une professionnelle de la santé et prétendait donc être un médecin, spécialisé en neurologie.

La victime, quant à elle souffrait de paralysie cérébrale et était prise en charge par la femme depuis le 20 janvier. Elle lui avait même prescrit un traitement alors qu’elle ne possédé aucune qualification ni diplôme dans ce domaine.

La femme, s’est contentée de faire la promotion de son activité via un compte Facebook, au nom de sa clinique, bien évidement illégale. D’après les médias locaux, elle y présentait son activité, mais l’utilisait aussi pour communiquer avec les patients et fixer les rendez-vous.