Un bulletin météo spécial ne change rien à la situation à Alger. Les précipitations, les premières surtout, ne ratent jamais leur coup.
Quelques gouttes de pluie et les rues de la capitale se transforment en oueds. L’avenue de l’ALN, Hussein-Dey, Saïd Hamdine, El Mouradïa, Raïs Hamidou, partout c’est le même constat. Les avaloirs sont de toute évidence, une fois de plus, obstrués.
Ces premiers millimètres de pluie ne trouvent plus leur chemin vers la mer. Les crevasses se transforment en flaques d’eau, les nids de poule se déploient sous l’effet des eaux et prennent l’aspect de mares. Des automobilistes coincés dans leurs véhicules. La majorité s’ingénient à trouver une parade pour trouver un chemin qui mène à la maison. Un chemin non bloqué par la circulation ou une route non fermée pour cause d’inondation. Un vrai calvaire!
