Bernard Henri Levy, le protecteur de la secte des assassins, ces supplétifs installés au pouvoir par l’Otan, a affirmé, samedi soir, lors de l’émission » on n’est pas couché » sur france2, à l’occasion de la sortie de son livre » la guerre sans l’aimer « , qu’il était l’auteur des textes fondateurs de la Libye post Kadhafi et qu’il avait écrit toutes les correspondances du CNT. S’il fallait une preuve supplémentaire, que les nouveaux maîtres de Tripoli étaient des marionnettes aux mains des occidentaux, c’est BHL qui nous la fournit sans sourciller.
Ce soit disant protecteur des « populations civiles Libyennes » qui n’a jamais levé le petit doigt pour les populations Palestiniennes et Libanaises quand elles étaient massacrées par l’armée sioniste et qui traitait, lors de diverses émissions télévisées, les fidayinnes de terroristes. Lui qui n’a jamais bronché quand Gaza la martyre était bombardée jour et nuit avec une sauvagerie inimaginable et quand le Liban pour la deuxième fois était dévasté, ses ports, aéroports, autoroutes, ponts, centrales électriques, usines…étaient systématiquement détruits par des bombardements inhumains par cet » Etat d’Israël civilisé et démocratique « .
Avec emphase et grandiloquence, faisant appel à force de gestes, pour convaincre son auditoire, il s’essaya avec prétention et suffisance à faire grand étalage de son lugubre rôle dans cette tragédie Libyenne.
Il a justifié l’écrasement et la destruction totale de la ville martyre de Syrte tout comme les exécutions sommaires des civils et des combattants pro Kadhafi, tout comme il a justifié le coup d’Etat international et le piétinement de la résolution du Conseil de sécurité par les forces de la coalition laquelle autorisait seulement » la protection des populations civiles en installant une zone d’exclusion aérienne « . Il a quand même versé des larmes de crocodile pour le lynchage suivi de l’assassinat de Kadhafi en avançant qu’il avait demandé aux meurtriers de faire… une enquête (sic) tout comme il a concédé avoir quelques doutes à propos des djihadistes Libyens, mais vite dissipés par orgueil et jactance.
Ce va-t-en-guerre qui a amené guerre, mort, destruction et désolation dans un pays jadis prospère a essayé de justifier l’injustifiable en parlant de massacres à grande échelle, de blindés prêts à massacrer les populations de Benghazi… sans pouvoir avancer la moindre preuve irrécusable.
Mentez, mentez, il en restera quelque chose, semble être la devise de l’inénarrable BHL.
