Visiblement, le patron du MPA maintient son cap et s’inscrit en dehors des «supplications» pour le
5e mandat présidentiel. Non seulement il est en marge des conciliabules et autres concertations entre les partis du camp de l’allégeance dont il se réclame, mais Amara Benyounès s’en tient à son propre agenda, se permettant même des vacances à l’étranger.