L’entraîneur du WAT, Benyellès, aurait dû se contenter des trois points arrachés samedi contre à l’USMH, à Lavigerie, et attendre de rentrer à Tlemcen pour commenter à loisir le match. Le coach tlemcénien nous dira qu’il ne parlait qu’à un proche, mais il se trouve que la discussion du technicien et son ami, où le premier cité se plaignait des conditions du match, est tombée dans l’oreille d’un dirigeant harrachi dont le sang lui était déjà monté à la tête, après la défaite. Conséquence : une virulente réprimande de la part dudit dirigeant chez qui la liberté d’expression est un vain mot.

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