Benkhalfa présente à Maputo les efforts de l’Algérie pour développer son économie

Benkhalfa présente à Maputo les efforts de l’Algérie pour développer son économie

8145e17837e476a8ff180741d056d90e_M.jpgALGER – Les efforts engagés par l’Algérie pour développer une économie « émergente et forte » ont été au centre de l’exposé présenté, jeudi à Maputo (Mozambique), par le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa.

Intervenant lors de la 40ème réunion du Conseil des gouverneurs de la Banque islamique de développement (BID), M. Benkhalfa est intervenu en plénière pour mettre en relief les défis auxquels les pays du monde musulman sont confrontés et les efforts fournis par l’Algérie « pour développer une économie nationale émergente et forte », a indiqué un communiqué du ministère.

La réunion du conseil des gouverneurs de la BID a regroupé les ministres des Finances des 56 pays membres de cette banque avec la participation de plusieurs représentants d’institutions financières internationales et régionales.

M. Benkhalfa a pris part également aux différentes assemblées des filiales relevant du groupe de la BID (Société islamique de garantie des investissements et des crédits à l’exportation, Société islamique de développement du secteur privé, Fonds de solidarité islamique de développement et la Société internationale islamique de financement du commerce).

En marge des travaux, M. Benkhalfa a aussi exposé les nouveaux impératifs de la politique algérienne avec plusieurs de ses homologues des pays membres de la BID, ajoute le communiqué.

Il a aussi eu un entretien avec le président de la BID, qui a porté essentiellement sur l’état des relations de l’Algérie avec cette institution et les voies et moyens de leur renforcement.

La présidence du haut conseil des Fonds d’El-Aqsa et d’El-Qods, étant assumée par l’Algérie, M. Benkhalfa a, alors, présidé la 15ème réunion de cette instance qui a eu à examiner l’état d’avancement des différents projets financés par ces fonds.

Ces deux fonds ont été créés en octobre 2000 sur décision du sommet arabe du Caire, dans le but de permettre le développement des capacités socio-économiques de la Palestine.

Les membres de ce haut conseil ont approuvé les apports libérés par les différents pays dont l’Algérie qui a versé toutes ses contributions, et ont exhorté les membres à préserver à l’avenir un niveau satisfaisant de recouvrement des contributions aux fonds.