Benchikha négocie avec un coach étranger

Benchikha négocie avec un coach étranger

Abdelhak Benchikha serait sur le point de conclure avec un entraîneur étranger. Une source sûre nous a appris que le «Général» a discuté avec un technicien qui pourrait être son futur conseiller.

Qui est donc l’entraîneur qui intégrera le staff technique des Verts, en compagnie de Benchikha ? La question était sur toutes les lèvres ces dernières heures, sauf que rien d’officiel n’a été enregistré au niveau de la FAF. En France, on a même avancé que Jaques Santini, l’ancien sélectionneur français, serait sur le point d’opter pour l’Algérie. Une rumeur que le concerné a vite démentie lorsque nous avons pris attache avec lui.

Mais, comme on dit, il n’y a jamais de fumée sans feu, et si la machine médiatique s’est remise en branle et traite de nouveau le sujet, c’est qu’il doit sans doute y avoir une part de vérité. Laquelle ? Au moins, on peut être certain qu’il existe, actuellement, une démarche visant à dénicher l’oiseau rare et à conclure avec lui. C’est, du reste ce que nous avons pu vérifier auprès de différentes sources proches du dossier.

C’est un technicien qui «parle français, mais qui n’est pas libre»

Ainsi, après avoir manqué l’Italien Damiano, on croit savoir qu’Abdelhak Benchikha aurait contacté plusieurs autres techniciens. Il aurait trouvé un terrain d’entente avec l’un d’eux, en particulier. Il s’agirait d’un technicien présentant l’avantage de «bien maîtriser la langue française» mais qui aurait un inconvénient, il ne serait pas libre de tout engagement.

Une source sûre affirme que Benchikha ne perd pas espoir d’accrocher ce coach étranger. En effet, ce dernier pourrait solutionner son problème et répondre à la sollicitation, de la Fédération algérienne de football qui éprouve bien des difficultés pour clore ce dossier. Il faut dire que le départ de Rabah Saâdane a mis la FAF dans l’embarras, elle qui s’est retrouvée prise au dépourvu.

Le lourd héritage de Saâdane

Il n’était pas aisé de trouver un remplaçant répondant aux critères recherchés, à savoir un technicien de valeur, pas trop exigeant sur le plan financier et ayant une bonne expérience sur la scène africaine. L’idéal a été un jour approché lorsque la piste Halilhodzic avait fait l’actualité, peu avant de s’effacer compliquant ensuite la situation, en ce sens qu’il était devenu compliqué de prospecter dans un marché où les candidats intéressants étaient tous pris.

Saâdane n’a pas fait ses valises peu après le Mondial 2010, période où Raouraoua aurait eu les coudées franches pour entamer les négociations qu’il souhaitait et engager le technicien qu’il désirait. Aujourd’hui, les données ont changé et l’affaire n’est pas mince. Abdelhak Benchikha est sélectionneur national, il faut lui trouver un adjoint qui, en fait, sera casé à la fédération tout en étant le conseiller du «Général»…