A.Ouélaa
En effet, au rythme où vont les choses, le jardin, qui s’étend sur presque deux hectares, avec ses différents accès, ses arbres séculaires et ses espaces verts réhabilités depuis un an, risque de tomber en désuétude. Pendant de nombreuses années, ce jardin était un véritable «nid de vipères» que fréquentaient surtout les délinquants de tout bord.
Il était aussi impossible pour les familles et les paisibles citoyens de le fréquenter. Maintenant, les familles tout comme les jeunes gens, grâce à l’éclairage, les bancs publics, une clôture en fer forgé, viennent pour y passer des moments agréables.
De l’avis de tous ceux qui connaissent ce jardin qui a abrité aussi un championnat de pétanque en 1956, l’entreprise El Feth engagée par la DUAC a fait du bon travail.
Le constat est identique pour de nombreux ouvrages et projets lancés par la DUAC, à l’image des nombreux jeux d’eau réalisés chacun pour 300 millions de centimes en dehors de ceux du chef-lieu de wilaya, ou encore comme à Echatt, Dréan et Zérizer, qui ont besoin que les communes leur assurent un entretien permanent et continu.
