Belfodil rejoindra-t-il Kadir ?

Belfodil rejoindra-t-il Kadir ?
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Selon RMC Sport, la rédaction sportive de la radio RMC, généralement bien informée en ce qui concerne le mercato français, l’attaquant algérien de l’Olympique Lyonnais, Ishak Belfodil, pourrait rejoindre son compatriote Foued Kadir au Valenciennes FC.

L’Olympique Lyonnais aurait proposé son jeune attaquant au club nordiste sous forme de prêt pour lui permettre d’avoir un peu plus de temps de jeu. Rappelons qu’Ishak Belfodil, qui avait un temps de jeu honorable en début de saison, y compris en Ligue des champions, ne joue quasiment plus depuis le retour de l’attaquant vedette du club rhodanien, l’Argentin Lissandro Lopez.

Un prêt seulement, pas question de vendre Belfodil

En plus de Valenciennes, il y a aussi l’OGC Nice qui pense à recruter l’attaquant algérien, qui s’était prononcé en exclusivité en faveur de l’équipe nationale algérienne dans les colonnes de Compétition, mais encore sous forme de prêt, car l’Olympique Lyonnais, qui croit énormément en son jeune poulain, ne veut pas entendre parler de transfert. Rappelons que Belfodil a été handicapé toute la saison précédente par des blessures musculaires dues à une forte croissance soudaine, le joueur ayant grandi d’un seul coup, passant d’un gabarit à la Samir Nasri à celui de Zlatan Ibrahimovic avec une taille de 1,91 m pour 86 kilos, avec toutes les conséquences physiques qu’une telle mutation engendre.

C’est le «bébé» de Rémy Garde

Cette situation favorable dont jouit Ishak Belfodil au sein de l’effectif professionnel de l’Olympique Lyonnais cette saison, avec 151 minutes jouées lors de la phase aller, malgré la présence de stars comme Lissandro Lopez ou encore Bafé Gomis, il la doit à son talent, certes, mais aussi au fait que l’OL est entraîné cette saison par Rémy Garde, qui était jusqu’à cette saison le patron du centre de formation du club du Rhône. C’est lui qui avait repéré Belfodil à Clermont Foot, c’est lui qui l’a fait venir à Lyon et il fera donc tout pour qu’il réussisse ne serait-ce que pour prouver qu’il avait le nez creux. Ishak Belfodil, c’est son «bébé» en quelque sorte.