Pas moins de 5000 projets sont gelés en raison de la conjoncture économique qui a dicté des priorités au gouvernement d’Abdelmalek Sellal. Dès lors, le gouvernement a décidé de rationaliser les dépenses, au lendemain de la chute du prix du pétrole sur le marché international.
Durant les neufs mois de 2016, les revenus pétroliers ont chuté de 40% par rapport à la même période de l’année passée.
Affaires religieuses : plus de mosquées en ces temps de crise
Quatre ans après le nombre de projets gelés est multiplié par trois, désormais ce sont 584 projets touristiques qui sont gelés par le gouvernement par manque de finances.

Habitat : des sites fantômes