Quelques jours nous séparent de la fin de ce mois qui n’a pas apporté grand-chose au club, à part des soucis internes et les coups bas, mais la direction espère arranger les choses d’ici la fin juin. Apparemment, Khettabi et son équipe dirigeante sont entrés en contact avec un nombre important de joueurs afin de les convaincre de porter le maillot rouge la saison prochaine.
Les dernières informations indiquent que le président aurait arraché l’accord de cinq ou six éléments. Mais jusqu’à l’heure actuelle, rien n’a filtré sur leur identité. Apparemment, ce sont des joueurs chevronnés et connus sur la scène footballistique nationale, lesquels pourront apporter un plus à l’équipe l’année prochaine, sachant que l’ASK a besoin de renforts dans les trois compartiments, notamment avec le départ quasi certain de quelques éléments, à l’image des Ouaddah, Douadi et Louadj.
Ils signeront dès l’arrivée des subventions
Les priorités de l’ASK passent par un gardien de but, deux joueurs de couloir, un milieu récupérateur type, deux milieux offensifs et un attaquant de métier pour épauler Ouhadda et Hafid. A première vue, cela semble facile à dénicher pour certains supporters, mais les bons joueurs à des prix raisonnables dans notre championnat sont devenus une denrée rare. Ce qui nous incite à chercher l’identité de ces joueurs choisis par Khettabi, qui a provoqué la curiosité des supporters. Ainsi, une fois les caisses de l’équipe renflouées, la direction les convoquera pour les faire signer en leur avançant quelques mois sur leurs salaires. Logiquement, les subventions arriveront dans peu de temps, ce qui est déjà rassurant pour la direction qui doit juste préparer son chéquier.
Le Monténégro pour le stage d’été !
Alors que le club est toujours sans entraîneur, la direction envisage d’effectuer le stage d’intersaison à l’étranger, plus précisément en Europe de l’Est. Eh oui ! Ce n’est pas une blague. La direction compte envoyer les copains de Zaâlani au Monténégro, une destination qui risque de coûter vraiment cher à une formation comme l’ASK, qui souffre déjà d’énormes difficultés financières. On ignore ce qui motive le choix de ce lieu. Ainsi, hormis les conditions climatiques favorables en cette période de l’année, le reste n’attire plus. D’ailleurs, le CSC a rayé de son calepin cette destination, car dans cette contrée, ça serait dur de trouver des sparring-partners pour disputer des matches amicaux. Ainsi, le mieux serait de donner carte blanche au prochain entraîneur de choisir le lieu du stage d’intersaison. Une seule certitude, si l’ASK part vers l’ancienne Yougoslavie, elle fera certainement des jaloux et ouvrira la porte aux autres formations de s’y rendre.