Dans une interview accordée au média « CARRE », Riyad Mahrez a parlé de beaucoup de choses. On cite notamment le sujet des binationaux, son transfert avorté à Arsenal ou encore, sa vie en Arabie Saoudite.
Concernant le sujet des binationaux, il a encore une fois envoyé un message fort à ceux qui hésitent entre l’Algérie et la France. « C’est un peu malsain de rester au milieu et d’attendre. Il faut respecter les deux pays. L’Algérie, ce n’est pas un petit pays », dira-t-il.
Ce n’est pas la première fois que Mahrez parle des joueurs qui disposent de la double nationalité. Dans un récent entretien accordé à l’Équipe, il dira : « J’ai toujours eu un raisonnement clair : t’as choisi d’être Algérien, Français ou Anglais ? On ne choisit pas l’Algérie ! ».
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Le jour où il a failli signer à Arsenal
Le capitaine de la sélection nationale a raconté une anecdote qui date de neuf ans. Il a révélé être tout proche de signer à Arsenal en été 2016. Il explique, pour la première fois, pour quelles raisons son transfert était tombé à l’eau.
« Quand on avait remporté le championnat en 2016 avec Leicester, je devais signer à Arsenal. C’était presque fait mais mon club m’avait bloqué car ils voulaient trop d’argent. », raconte-t-il.
Et d’ajouter : « On remporte le championnat… Si cette clause avait été faite je serais allé au Real, tous les clubs me voulaient. Mais Leicester demandait trop et je suis resté. Leicester demandait environ 60 millions d’euros à l’époque. ».
Deux ans après, soit en 2018, Riyad avait rejoint Manchester City, avec lequel il avait connu la grande gloire pendant cinq saisons.
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Sa nouvelle vie en Arabie Saoudite
Dans son interview au média français, l’attaquant d’Al-Ahli parle de sa nouvelle vie en Arabie Saoudite. Il la savoure bien, auprès de sa petite famille.
« Ma nouvelle vie ? Entraînement en fin de journée, à cause de la chaleur. Le matin, je suis avec mes enfants, je les emmène à l’école, on profite, on bronze. C’est la vie de rêve. », dira-t-il.
L’un des cadres de la sélection nationale affirme que sa nouvelle vie en Arabie Saoudite l’a beaucoup aidé pour bien pratiquer la religion, contrairement à ce qui a été le cas lorsqu’il jouait en Angleterre. « En termes de religion, ça aide beaucoup. Tu as la mosquée à côté, tu es dans un environnement qui est ta culture, ta religion. C’est plus facile », a-t-il ajouté.
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