En proie à une gestion anarchique, la forêt de Baïnem, considérée comme le poumon de la capitale, se trouve dans un état d’insalubrité déplorable entre espaces de jeux médiocres, manque de poubelles et agressions quotidiennes contre la nature. Et comme si cela ne suffisait pas, une société publique de ramassage d’ordures n’a pas trouvé meilleur endroit que cette forêt pour déverser les déchets qu’elle collecte. Avec de tels comportements, il ne faut pas s’étonner du choléra !

A lire aussi