Après les derniers événements d’une mouhafadha ,Belkhadem déclenche une enquête sur les auteurs du trouble

Après les derniers événements d’une mouhafadha ,Belkhadem déclenche une enquête sur les auteurs du trouble

Selon des informations, le secrétaire général du parti FLN Abdelaziz Belkhadem aurait réagi aux derniers événements de la mouhafadha de Boumerdès.

Il a délégué un membre de son bureau exécutif pour s’enquérir de la situation qui prévaut entre les membres et aussi déclencher une enquête sur les derniers agissements et l’agression dont a été victime un militant. Lequel a été agressé par le maire d’Ouled Aissa qui est aussi membre de la mouhafadha. Ce dernier a usé de tous les moyens pour agresser à coups de gourdin sa victime. Un certificat d’incapacité de 16 jours a été délivré par un médecin légiste, a-t-on appris. La victime a déposé plainte contre son agresseur. Ce dernier n’est pas près de céder aux interventions de certains.

Il est à rappeler que depuis les dernières élections de la mouhafadha, un mouvement de crise a fait son apparition entre les membres de l’exécutif du parti. Un dissentiment violent et durable s’accroît parmi les membres et s’intensifie jusqu’à s’interroger sur le pourquoi de cette situation qui survient bizarrement à quelques mois des législatives. La dernière réunion du bureau de la mouhafadha élargie au secrétaire général des kasamates, n’a pas été tenue en raison d’un dérapage entre les membres. Le président de l’Apc d’Ouled Aissa qui est aussi membre de la mouhafadha a agressé un militant, avant même l’ouverture de la séance. Une panique entre les membres, fidèles à la direction du parti en place et les redresseurs, a contraint le mouhafadh à suspendre, voire annuler cette réunion. C’est la 7e réunion programmée qui n’a pas eu son épilogue. Lesquelles réunions sont perturbées par certains militants, opportunistes, connus dans le milieu Flniste par leurs agissements néfastes en l’absence d’une formation politique adéquate. Lesquels jouissent du soutien de leurs collègues pour s’accorder tous les privilèges et jusqu’à même en arriver à des agressions physiques sans qu’ils ne soient blâmés ou condamnés.

A. K.