Surprenantes, voire désolantes les sorties des Egyptiens qui ont laissé de côté leurs principes et leur éducation, en usant de tous les moyens pour aller au Mondial. Ils ont annoncé la guerre aux Algériens dès qu’ils ont gagné face à la Zambie afin de déstabiliser les Algériens avant la confrontation entre les deux pays prévue le 14 novembre au Cairo Stadium. Ils sont prêts à tout, même à ternir les relations entre l’Algérie et l’Egypte, rien que pour aller au Mondial sud-africain.
La dernière sortie en date est celle du journaliste sportif de la chaîne Moderne, Amro Adib (qui n’a rien d’un éduqué d’ailleurs), en annonçant au cours de l’émission qu’il présente que «le citoyen algérien a la particularité de détester son homologue égyptien». Mais quand l’invité voulait préciser que c’était seulement une rivalité qui ne dépasse pas le cadre sportif, le présentateur en question est allé plus loin pour ajouter une couche : «Ce n’est pas seulement une haine sportive, mais les Algériens nous détestent jusqu’à la moelle.»
Il a prié pour que le Rwanda crée la surprise
Le présentateur en question ne s’est pas arrêté là puisqu’il n’a pas cessé de ternir l’image de marque de l’équipe nationale, malgré son riche palmarès, tout en promettant l’enfer aux Algériens le 14 novembre prochain, date du match Egypte-Algérie au Caire. Il n’a pas cessé d’implorer le ciel pour que l’Algérie trébuche face au Rwanda. C’est d’ailleurs aussi le souhait de 80 millions d’Egyptiens.
Shehata lui a raccroché au nez
Comment peut-on répondre à quelqu’un qui a été le premier à ternir l’image de marque de son pays, après la défaite contre les Etats Unis, en dévoilant sans scrupules cette histoire de prostitution dont les joueurs égyptiens ont été victimes sans pour autant vérifier la véracité de l’information.
Il a dû ensuite s’accrocher en direct avec les joueurs de la sélection égyptienne et son entraîneur Shehata qui, furieux contre lui, a dû lui raccrocher le téléphone au nez devant 80 millions d’Egyptiens. Après avoir accusé à tort un élément de la sélection égyptienne d’atteinte à la moralité publique, le commentateur en question était obligé de présenter ses excuses le lendemain. Sans commentaire !