«Le ministre Mourad Medelci a réaffirmé, à partir de Moscou, que l’Algérie est toujours dans l’attente d’une position française qui ne soit pas timide ou timorée sur la question de la mémoire. Nous avons certainement besoin d’une position plus claire et plus explicite à ce sujet pour assainir de manière définitive l’atmosphère des relations globales que nous entretenons avec notre partenaire français», a déclaré hier le porte-parole du ministère des Affaires étrangères algériennes, Amar Belani.
Le gouvernement algérien avait reçu il y a plus d’un an une proposition de loi émanant de quelques parlementaires visant à incriminer l’acte de colonialisme commis par la France en Algérie durant la période de 1830 à 1962. A ce jour, le gouvernement ne s’est pas encore exprimé sur le projet.
