Journée parlementaire sur le développement des TIC La 3G, l’inévitable question

Journée parlementaire sur le développement des TIC La 3G, l’inévitable question

arpt-3g-300x257.jpgUne journée parlementaire sera ouverte aujourd’hui par le ministre de la Communication et des Télécommunications sous le thème «Le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC) en Algérie». En ce qui concerne le problème du lancement de la 3G en Algérie, qui intéresse la plupart des citoyens, le ministre a récemment assuré, en marge de la rencontre consacrée au lancement du portail Web, que «le retard dans l’introduction de la 3G en Algérie est dû, essentiellement, au dossier Djezzy et j’espère sincèrement que les délais seront respectés». En effet, la journée sera ouverte par une allocution du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC), Moussa Benhamadi, suivie par des communications présentées par des cadres du ministère portant notamment sur «le rôle du Conseil de la concurrence et sa relation avec l’autorité de régulation» et la comparaison entre les indices des TIC avec les pays voisins, indique hier un communiqué de l’APN.

En outre, les spécialistes présenteront également, lors de cette rencontre, des exposés sur «la mise à jour juridique», «les horizons de développement du secteur des postes à la faveur de l’environnement juridique», «les mesures incitatives et les fonds de soutien», «le plan d’Algérie télécoms concernant le plan national de généralisation des fibres optiques» et «l’unification des réseaux sectoriels». Par ailleurs, les travaux de cette journée qui seront marqués, selon la même source, par un débat sur «le haut débit de la téléphonie mobile, horizons et actions» avec la participation des opérateurs activant dans ce secteur en Algérie, seront clôturés par des recommandations sur les différents thèmes débattus. Rappelons que le ministre a précisé que «les pouvoirs publics sont en train de consentir des investissements conséquents à l’image des 115 milliards de DA pour renforcer le réseau de fibre otique ou encore les 140 milliards de DA pour la généralisation des TIC et c’est loin d’être fini».

Ahcene Hadjam