L’institution de Bretton-Woods trouve que « l’activité s’est raffermie ». Conséquence : les chiffres de cette année devraient être meilleurs.
Selon le Fonds monétaire international, l’Algérie clôturera l’année 2014 avec une croissance de 4 % du Produit intérieur brut (PIB) contre 2,8 % l’année dernière. Concernant l’inflation, le pays devrait en enregistrer une à 2 % dans une logique de repli.
Si l’on en croit Zeine Zeidane, le chef de la mission du FMI qui a effectué dans le pays une série de consultations, sur le front du déficit budgétaire, l’Algérie est moins performante. Celui-ci devrait être de l’ordre de 6 %. L’explication réside dans la baisse des recettes d’exportation des hydrocarbures et aussi dans le maintien d’un niveau élevé des dépenses de l’État.
Par Samir El Walid
