Algérie – Indice mondial de l’innovation 2012 : L’Algérie au 124ème rang mondial

Algérie – Indice mondial de l’innovation 2012 : L’Algérie au 124ème rang mondial
algerie-indice-mondial-de-linnovation-2012-lalgerie-au-124eme-rang-mondial.jpg

L’Algérie est classée au 124ème rang en matière d’innovation, sur un total de 141 pays, à travers le monde, selon le classement international « The global innovation index 2012 ».

Placé sous le thème « le renforcement des liens dans le processus d’innovation pour la croissance mondiale », le rapport, le cinquième du genre, a été réalisé par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et l’INSEAD (institut européen d’administration

des affaires).

Le rapport s’appuie sur deux grands indices:l’efficacité de l’innovation et les moyens favorisant les activités innovantes mis en oeuvre par les pays concernés par le GII.

Ces moyens sont le cadre institutionnel, le capital humain et la recherche, l’infrastructure, le perfectionnement du marché, le perfectionnement des entreprises, les résultats en matière de connaissances et de technologies en plus des résultats créatifs (créativité immatérielle, créativité dans la production et les services, la créativité en ligne).

Au ‘top five’ des pays les plus innovants, figure la Suisse, avec un score de 68,2/100, suivie de la Suède (64,8), de Singapour (63,5), de la Finlande (61,8) et du Royaume Uni ((61,2).

Pour ce qui est des pays arabes, le Qatar se situe en haut du pavé (33ème rang), viennent ensuite les Emirats Arabes Unis (37ème), le Bahrain (41ème), Oman (47ème), l’Arabie Saoudite (48ème), la tunisie (59 ème), le Liban (61ème), le Maroc (88ème), et l’Egypte (103ème)

Faut-il rappeler que, selon l’OMPI, l’indice mondial de l’innovation constitue un indicateur du rôle essentiel que joue l’innovation en tant que moteur de la croissance économique et de la prospérité.

Il se présente aussi comme un outil de comparaison précieux pour encourager le dialogue entre les secteurs public et privé, permettant aux décideurs, aux chefs d’entreprises et à d’autres parties prenantes d’évaluer en continu les progrès accomplis.