Le tribunal criminel d’Alger examinera le 10 février prochain l’affaire de pas moins de 48 présumés terroristes, dont six actuellement en détention, impliqués dans des massacres collectifs avec usage d’explosifs .
Ces accusés, dont figure l’émir de l’organisation terroriste Al-Qaida au Maghreb islamique, Droukdel Abdelmalek, sont poursuivis pour poursuivis pour plusieurs chefs d’accusation dont “constitution d’un groupe terroriste”, “massacres collectifs avec usage d’explosifs dans des lieux publics” et “enlèvement avec usage de violence et menace d’assassinat dans le but de demander une rançon”. Puisqu’ils répondront aussi pour “détérioration volontaire d’édifices publics” et de “véhicules à l’aide d’explosifs”. Néanmoins le rôle ne précise pas les lieux où ont été commis les massacres ni le nombre de victimes.
Par ailleurs devant le même tribunal criminel le procès de 7 autres accusés, en détention provisoire, poursuivis pour “constitution d’un groupe terroriste armé semant la peur et la mort parmi les populations, destruction et pose d’explosifs dans des lieux publics et des marchés ayant entraîné plusieurs morts et blessés est enrôlé pour le 14 janvier prochain. D’autres charges notamment enlèvement, viol et homicide volontaire avec préméditation sont également retenues contre ces prévenus.
