Récidivant dans son rôle de chaîne subversive par excellence la chaîne qatarie Al Jazeera mijote son plan pour saboter les élections législatives en Algérie. N’étant pas autorisée à couvrir les événements à partir de l’Algérie, cette chaine machiavélique utilise des subterfuges pour parvenir à ses fins.
Ainsi, selon «algeriepatriotique » qui reprend des sources sures ; des images montrant une manifestation de «soutien au peuple syrien» organisée à Hydra, sur les hauteurs d’Alger sont parvenues à ElAl jazeera. Ce qui prouve que cette chaîne subversive, a recruté des Algériens pour transmettre des images fabriquées de toute pièce pour ternir l’image de l’Algérie et faire croire à un mécontentement généralisé dans le pays. Ces techniques de manipulations de l’opinion mondiale sont souvent utilisées pour fabriquer une opinion négative et néfaste déjà utilisée dans des conflits qui ont marqué la région. Elles sont encore utilisées pour déformer la réalité en SYRIE, où les chaînes qatarie Al Jazeera, saoudienne Al Arabiya et française France 24 s’emploient à mener une campagne de désinformation sans précédent pour pousser au pourrissement dans ce pays du Moyen-Orient, ennemi juré de l’Etat hébreu. Ces sources indiquent également qu’Al jazeera, que dirige un Algérien depuis le limogeage du Palestinien proche du Hamas, Wadah Khanfar, met à la disposition de ses éléments, des moyens de télécommunications sophistiqués et des micro-caméras faciles à dissimuler. Des indiscrétions révèlent que le correspondant clandestin d’Al Jazeera qui a envoyé les images de la manifestation de Hydra serait un journaliste algérien qui exercerait dans une rédaction locale. Les images passaient en boucle sur Al Jazeera Mubashir, avec une indication qui prouve que les images étaient transmises en direct. Al Jazeera utilise également d’autres subterfuges pour couvrir les événements en Algérie. C’est ainsi qu’en janvier 2011, alors que la rue grouillait et que plus de quarante organes de presse et télévisions étrangères s’étaient rendus en Algérie pour couvrir ce qu’ils espéraient être le prolongement des événements de Tunisie et d’Egypte, des journalistes algériens employés par Al Jazeera étaient rentrés au pays «pour quelques jours de congé». Mais la coïncidence était peu crédible, Al Jazeera ayant pu, comme par hasard, obtenir des images des manifestations qui secouaient la capitale. L’ancien ambassadeur tunisien à l’Unesco, Mezri Haddad, a d’ailleurs révélé lui aussi, formellement, que le Qatar œuvrait à la déstabilisation de l’Algérie et qu’il détenait des informations selon lesquelles ce pays «concentre ses efforts de déstabilisation actuellement sur l’Algérie».
Nadine