Par ailleurs, Noureddine Aït Hamouda a affirmé qu’il ne formerait pas d’alliance avec les partis de l’opposition au sein de l’Assemblée populaire nationale (APN), notamment traditionnels qui, faut-il le rappeler, occupent le devant de la scène politique en Kabylie, ajoutant qu’il était encore prématuré de parler de la création d’un parti politique.
L’ancien leader du RCD a refusé de transformer la fondation portant le nom de son père – Amirouche Aït Hamouda – créée au lendemain de sa démission du parti à une formation politique, estimant qu’il était encore précoce de parler de cela.
En outre, il s’est dit défavorable à créer des alliances avec les partis de l’opposition, en l’occurrence ceux ayant de l’ancrage en Kabylie, préférant ainsi militer seul.
Le député n’a pas manqué de critiquer les résultats des élections législatives du 4 mai 2017, qui portent atteinte ,à ses yeux, à la crédibilité du Parlement dépourvu de légitimité depuis 1997.
Pour lui, la répartition des sièges au sein de l’hémicycle a permis au pouvoir de mettre en place un duo stratégique composé des partis pro-pouvoir et des partis islamiques à travers la distribution de l’argent sale.