Air Algérie : vers une reprise des vols avec Dubaï

Air Algérie : vers une reprise des vols avec Dubaï

L’ouverture partielle des frontières, annoncée par le président Tebboune, entame sa troisième semaine. En effet, et depuis le premier juin dernier, plusieurs vols s’effectuent entre l’Algérie et six différents pays du monde. Une liste qui pourrait encore s’allonger, vu que des nouveaux vols vers Dubaï pourraient être bientôt annoncés.

Les vols commerciaux entre Alger et Dubaï pourraient bientôt reprendre, ont affirmé nos confrères de Liberté aujourd’hui, tout en précisant que les compagnies aériennes concernées et les autorités consulaires algériennes basées à Dubaï, seraient en train d’étudier la question.

Alger – Dubaï : des vols assurés par Air Algérie ?

Toujours selon la même source, les autorités en Algérie seraient toujours au stade d’évaluation de la possibilité de rajouter une ligne aérienne entre Alger et Dubaï. Ceci dit, il faudrait également noter que Dubaï est une importante zone de transit pour les ressortissants algériens qui voyagent avec les compagnies aériennes asiatiques et de l’Afrique de l’Est.

Les tractations concernant la question du rajout d’une ou de plusieurs dessertes hebdomadaires entre Alger et Dubaï seraient donc déjà entamées. La phase d’évaluation pourrait être un début favorable pour voir le lancement d’un seul vol hebdomadaire entre les deux aéroports. La cadence pourrait ensuite s’accélérer, en fonction de l’évolution de la situation épidémiologique, assure toujours la même source.

Il est à rappeler également que les nouvelles liaisons aériennes mettent encore plus de pression sur les établissements hôteliers en Algérie qui ne peuvent plus accueillir tous les ressortissants Algériens soumis à un confinement obligatoire de cinq jours. D’ailleurs, selon le quotidien El Watan, la mesure du confinement systématique devrait être abandonnée dans les jours qui suivent. Cette prochaine suppression découlerait de l’impossibilité de prendre en charge tous les voyageurs. La gratuité promise par Tebboune aux étudiants et aux personnes démunis, aurait notamment été un trou budgétaire pour un trésor public déjà en difficulté.