Le FFS n’a pas cru aux élections présidentielle c’est pour cette raison qu’il n’a pas appelé au boycott car selon le premier secrétaire national du parti Ahmed Batatache « nous nous placions en dehors de cette échéance ».
La déclaration faite ce matin au centre culturel Mohamed El yazid du khroub où le staff présidentiel du premier parti de l’opposition en Algérie prenait part à une journée d’étude pour la commémoration du printemps berbère sous le thème « La dimension amazighe de l’histoire de l’Algérie facteur de cohésion nationale ».
Ainsi le FFS à la conquête de nouveaux cadres et de nouveaux horizons a choisi Constantine pour réitérer son appel pour la conférence nationale de consensus politique, sociale et économique « pour une issue démocratique et pacifique à la crise nationale. »
Le climat politique reste très tendu au lendemain des élections et c’est le moment où jamais de « s’unir avec toutes les forces manifestant un intérêt pour une approche consensuelle des questions politiques, économiques, sociales environnementales et culturelles qui se posent au pays ». Selon toujours son premier secrétaire « nous croyons qu’un consensus sur les politiques à mener est d’une importance vitale pour faire renaître la confiance, remettre le pays au travail et préserver l’avenir des générations futures.»
Notons qu’il était question aujourd’hui d’espérer à plus de mobilisation autour de la question de l’amazighité« partie intégrante de la personnalité et l’identité algérienne » selon Ali Laskri qui précise que « le 20 avril doit être fêté à travers toute l’Algérie et pas uniquement à Tizi Ouzou » pour une « Algérie cohérente et unie ».
M.E.H