Comment est l’ambiance au sein du groupe avant cette importante rencontre face à la République centrafricaine ?
Très bonne. Tout va bien, le groupe s’entraîne le plus sérieusement possible pour ramener un bon résultat de notre déplacement en Afrique centrale. On a conscience de la mission qui nous reste à accomplir et on tâchera de faire bonne figure.
Comment ça se passe avec le nouveau sélectionneur ?
Très bien. La prise de contact s’est bien passée et les choses marchent plutôt bien. On est content de travailler avec lui et on essayera bien évidemment de l’aider dans sa mission.
Comment avez-vous trouvé sa méthode de travail ?
Vous savez, chaque entraîneur a sa méthode pour gérer son groupe. On a beaucoup parlé dans la presse de l’intransigeance de Benchikha dans son travail, mais d’après ce que j’ai constaté, rien de cela n’est vrai. C’est un entraîneur qui sait ce qu’il fait et qui est à l’écoute de ses joueurs.
Vous êtes redevenu le chouchou des supporters. Comment vivez-vous cela ?
Ben, normal. Ça me fait plaisir que les supporters m’apprécient autant. Leurs encouragements me poussent à me surpasser pour être à la hauteur de leurs espérances.
Quelques heures seulement nous séparent de la rencontre. Comment appréhendez-vous ce rendez-vous ?
Il est clair qu’on s’attend à un match très difficile là-bas. L’adversaire a réussi à tenir en échec le Maroc sur ses terres, ce qui démontre qu’il n’est pas aussi facile à manier comme peuvent le penser certains. On ira avec la ferme intention de remporter le gain du match.
Qu’est-ce que vous craignez de cette rencontre ?
Moi personnellement, je ne crains rien en particulier. On dispose d’une belle équipe et je pense qu’on a les moyens de revenir avec les trois points de Bangui. Ecoutez, on ne va tout de même pas craindre la République centrafricaine ! On est les favoris et on doit assumer notre statut.
Vous restez optimiste ?
Oui, je suis très optimiste et Inch’Allah, la victoire ne nous échappera pas.
