L’ancien ministre de la communication, Abdelaziz Rahabi, a considéré, aujourd’hui lundi, au Forum de Liberté, que «le cinquième mandat fait désormais partie du passé».
L’ancien ambassadeur se projette d’ores et déjà dans l’avenir, c’est-à-dire l’«après Bouteflika», et suggère de «mettre en place les outils de la transition».
Pour lui, «il faut discuter longtemps avec tout le monde pour sortir de ce système qui a fait son temps et qui est arrivé à ses limites», mais aussi «parvenir à envisager une autre Algérie, moderne, plus juste et plus riche».
Pour ce faire, Abdelaziz Rahabi insiste sur le fait que «la période de transition démocratique ne doit pas être menée par le pouvoir».
