Le membre dirigeant du Front de libération nationale, Mohamed Segheir, a traité avant-hier, les initiateurs de l’abstraction du parti FLN, de la scène politique, de «chômeurs politiques», tandis que le coordinateur du parti, Abderrahmane Belayat a promis de les combattre, déclarant, que le parti, a besoin d’une couverture pour protège ses principes, et ces derniers, n’ont pas le droit d’agresser le parti quelle que soit leur ancienneté, ils ne sont pas plus anciens que Ben Bella, Boudiaf, Krim Belkacem et Ait Ahmed.Quant à Kara, a refusé de se prononcer sur le démarrage de l’opération de la collecte de signatures par les initiateurs de l’abstraction du parti FLN, de la scène politique, arguant qu’il relève du chômage politique, et que ceux qui derrière, n’ont pas trouvé quoi faire. Ajoutant que cette initiative engendra des retombées.Celle de restructurer la base militante du parti, qui est entré dans un état de stagnation et de récession après le renversement de l’ancien secrétaire général Abdelaziz Belkhadem. Le coordonnateur du FLN, assure que la situation du parti sans le secrétaire général n’affecte pas à sa gestion, en faisant valoir que le Comité central, dont les membres sont divisés entre partisans et adversaires de Belkhadem, c’est elle qui gère le parti, au lieu du bureau politique, qui gère les affaires quotidiennes du parti. Ainsi, le parti, a son président, qui est le Président de la République. Notre interlocuteur, déclaré que le président a le droit de briguer un quatrième mandat, parce que la Constitution lui permet de le faire.
Ismain