À J-1 du match Algérie – Rwanda : Le onze titulaire tenu au secret

À J-1 du match Algérie – Rwanda : Le onze titulaire tenu au secret

L’entraîneur national Rabah Saâdane n’a pas donné suffisamment d’indications sur l’équipe alignée, demain à Blida, contre le Rwanda dans un match comptant pour la cinquième journée de la dernière phase qualificative au mondial et à la CAN 2010.

Il a préféré tenir au secret le onze rentrant. Il s’est contenté juste de préciser que le compartiment défensif ne devra pas changer. Il entend renouveler sa confiance au trio Halliche, Bougherra, Antar Yahia. Dans l’animation de jeu et dans le compartiment offensif l’on ne sait toujours pas grand-chose. Compte tenu de l’absence de Mansouri (suspendu et blessé à la fois), des changements s’imposent. S’y ajouteront l’arrivée de deux « perles » Yebda et Abdoun ainsi que la grande forme affichée par le petit zizou (Meghni). Le choix est réellement difficile à faire. Des indiscrétions font toutefois croire que Saâdane est un peu indécis. Le sélectionneur pourrait toutefois opter à la stabilité.

Meghni serait introduit à la place de Mansouri. Le joueur de la Lazio sera associé au quatuor habituel Belhadj, Matmour, Ziani et Lemmouchia. Ce dernier est opérationnel malgré la (légère) blessure contractée, jeudi, au niveau de la cuisse. L’incorporation de Yebda ou Abdoun se ferra en fonction du développement du résultat. En attaque, l’entraîneur national s’est montré aussi réservé. Il n’a rien ébruité à ce sujet. L’on apprend néanmoins que Rafik Djebbour, en rupture de banc avec AEK Athènes depuis plusieurs semaines, sera déporté de l’autre coté du terrain. L’attaquant de Sienne, Abdelkader Ghezzal, en meilleure forme actuellement, lui sera préféré.

Ghezzal évoluera aux cotés de Rafik Saïfi. En dépit du fait d’avoir ressenti, jeudi, des douleurs au dos, le bourreau de la Zambie est bon pour le service. Saïfi avait été contraint, rappelle-t-on, d’observer un repos d’une semaine le mois passé après avoir contracté une lésion au niveau du dos. « C’est une petite blessure, il n’y a pas lieu de s’inquiéter » ne cessait de répéter Saïfi.