Ceux qui avaient parié sur l’essoufflement du mouvement populaire ont eu tort. La mobilisation citoyenne a atteint aujourd’hui son 51e vendredi sans relâche. Cette détermination est une réponse cinglante aux détracteurs du Hirak.
A Guelma, ils sont sortis par centaines pour réclamer une «justice indépendante» et la libration des détenus du Hirak.
Les hirakistes ont marché pour la 50e fois consécutive à travers le centre de la ville de Sidi Bel Abbès pour l’instauration d’un Etat de droit.
Ce vendredi à Sidi Bel Abbès, la mobilisation était plus importante que le vendredi dernier. Ils étaient un millier de manifestants à réclamer la libération des détenus du Hirak.
A 50km de la capitale, à Blida, les manifestants sont sortis en force réitérant leur aspiration à un État de droit et un État civil, et non militaire. Ils n’ont cessé de le rappeler considérant le système actuel comme une prolongation de l’ancien.
