40 ans après le 24 février 1971, l’Algérie s’impose comme acteur énergétique majeur sur la scène internationale

40 ans après le 24 février 1971, l’Algérie s’impose comme acteur énergétique majeur sur la scène internationale

Avec une production d’hydrocarbures de plus de 214 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) et des recettes avoisinant 56 milliards de dollars en 2010, l’Algérie continue de s’imposer comme un acteur majeur sur la scène énergétique mondiale, 40 ans après le recouvrement de la souveraineté nationale sur ce secteur.

Annoncée le 24 février 1971 à Hassi Messaoud, plus important gisement algérien de pétrole, la décision de nationaliser les hydrocarbures portait notamment sur l’acquisition par l’Algérie d’au moins 51% des intérêts des sociétés concessionnaires françaises qui opéraient dans le sud du pays. Tous les intérêts miniers liés aux gisements de gaz naturel ainsi que tous les intérêts détenus dans les sociétés de transport d’hydrocarbures ont été aussi repris dans le cadre de cette décision stratégique.